Campagne de Hollande 1940

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Les scénarii présentés ci-après le sont dans l'ordre joué.

MOOK

Au petit matin, les allemands s'élancent à l'assaut alors que l'artillerie allemande noie les positions hollandaises sous un nuage de fumée.

Les allemands subissent leurs premières pertes en arrivant sur l'obstacle que représente la rivière.

A ce moment-là, l'artillerie allemande change de munition afin d'envoyer des explosifs sur les positions hollandaises qui se sont dévoilées, en en particulier les casemates de mitrailleuses.

Alors que les allemands franchissent la rivière, les hollandais subissent leurs première pertes.

La première ligne de résistance hollandaise est enfoncée et les hollandais doivent alors reculer derrière les casemates de mitrailleuses qui représentent la deuxième et principale ligne de défense.

Les mortiers hollandais rentrent alors en jeu soutenus par l'artillerie hollandaise. Mais malgré de nouvelles pertes, les allemands prennent la première casemate sur le flanc gauche des hollandais, avant de lancer une attaque de flanc sur les autres casemates.

Une contre-attaque est menée depuis la troisième et dernière ligne de résistance hollandaise. Même si cette dernière réussie presque à déboucher sur le flanc gauche hollandais en infligeant de lourdes pertes aux allemands, elle ne peut empêcher la destruction des autres casemates. La ligne de résistance principale des hollandais étant submergée par les allemands, les hollandais n'ont plus d'autre choix que de retraiter.

VALKENBURG

A l'aube du 10 mai 1940, les paras allemands prennent par surprise l'aérodrome et commence à élargir leur périmètre de défense.

Les combats font rage de part et d'autre de l'aéroport et les hollandais sont malmenés; Une compagnie de mitrailleuse se fait éliminer et deux compagnies d'infanterie se font tellement étriller qu'elles seront incapables de mener le moindre assaut. De plus, sous la pression, la compagnie d'état-major est obligée de reculer pour ne pas subir elle aussi un sort funeste.

Cela rend confiant les allemands qui ne bougent plus dans l'attente des renforts qui arrivent par avion. C'est au moment délicat où ces derniers roulent sur la piste que l'artillerie hollandaise les prend pour cible et que les automitrailleuses à l'affut chargent vers la piste d'atterrissage toutes les mitrailleuses de bord en action.

Les pertes sont lourdes pour les renforts allemands qui se replient rapidement vers les hangars.

Les hollandais encouragés par ce premier succès chargent un des flans allemands, éliminent une compagnie de paras et continuent en direction des hangars.

Les allemands sont malmenés durement (renforts éliminés ainsi que la compagnie de commandement) mais tiennent bon et les hollandais doivent se replier car leur dernier potentiel offensif s'est fait étriller durant l'assaut. Les deux camps finissent par camper sur leur position car aucun renfort n'arrivera d'un côté comme de l'autre.

SAINT AGATHA

Les allemands s'élancent sur l'ensemble du front et prennent même à revers une partie des défenses hollandaises.

Déjà un premier bunker explose sur l'aile droite hollandaise et l'artillerie hollandaise est prise à parti par les troupes allemandes ayant contournées le dispositif défensif.

Les allemands percent sur l'aile droite et gauche des hollandais. Au centre, une compagnie de mitrailleuses allemandes est éliminée mais sur chaque aile un nouveau bunker est détruit. Les Hollandais résistent comme ils peuvent mais avec plus qu'un seule bunker en état et une artillerie qui a perdue la moitié de ses canons, la situations est très compromise.

Les allemands, sûr de leur victoire rappellent une de leur compagnie et c'est à ce moment là que les Hollandais tentent de reprendre l'avantage à l'aide d'une contre attaque. Si elle permet de reprendre un des bunkers sur l'aile gauche et de repousser les allemands avec beaucoup de perte, la contre attaque sur l'aile droite est un véritable échec. Les Hollandais s'y faisant litéralement hacher, obligeant le commandement hollandais à ordonner la retraite.

WAALHAVEN

A l'aube du 10 mai 1940, les allemands se posent en hydravion en plein coeur de Rotterdam près du pont de Wilhemsbrug ainsi que l'aéroport militaire de Waalhaven.

Les combats font rage autour de l'aéroport et les troupes Néerlandaise plient sous le nombre et se replient vers la ville, ouvrant ainsi un passage afin que le ravitaillement puisse parvenir aux troupes allemandes. .

Autour du pont aussi les combats font rage. On échange des coups de feu d'une maison à l'autre, et à ce petit jeu d'attrition, les Hollandais ne sont pas les gagnants, pourtant soutenus par leur artillerie navale (destroyer). Les compagnies Hollandaises voient donc leur effectifs diminuer dangereusement et c'est au final les automitrailleuses qui tiennent le pont. Les éclats de mortiers ainsi que les balles fusent de toutes part et résonnent sur les blindages. Les coups de fusils anti-chars claquent aussi mais ne parviennent pas à percer les blindages.

La nuit tombe sur un status quo mais les défenses Hollandaise craquent de partout en cette journée du 10 mai, et ce n'est qu'une question de temps avant que les allemands ne prennent entièrement la ville.

O-O Linie

La 1e Kavalleriedivision du groupe d'armée B avait pour objectif de pénétrer dans le nord-est des Pays-Bas dans le but de prendre la forteresse Holland par l'Afsluitdijk au nord. Cependant, il devait passer par la O-O Linie, une ligne de défense naturelle avec une multitude de rivières, canaux, fosses et de terrains inondes avec de nombreux bunkers et casemates. Ce dispositif n'était défendu que par 3 bataillons d'infanteries appuyés par quelques pièces d'artilleries.

Dans un premier temps les troupes Hollandaises aux avant-postes résistent aux assauts des Allemands. Elles plient mais arrivent à retraiter sur la ligne principale de résistance. Cependant, les Allemands apuyés par leurs blindées, font sauter les obstacles au centre du dispositif hollandais et c'est la ruée des panzers. Les fusils anti-chars hollandais auraient pu éventuellement freiner la charge des panzers mais leurs tirs ont très rarement fait mouche, et de ce fait, ne furent d'aucune gêne pour les blindés allemands.

Le front Hollandais est enfoncé et les panzers s'enfoncent dans le plat pays en ce 10 mai 1940..

Ijssellinie

Les troupes allemandes avancent derrière un barage de fumigène et approchent ainsi rapidement et sans perte des ponts. Cependant, l'artillerie Hollandaise ne reste pas inactive et malgré son peu de moyen, elle parvient à museler l'artillerie adverse.

Le pont de Duesbourg tombe et les blindées allemands en profitent pour passer sur l'autre rive où ils sont bloqués par les blockhaus.

L'infanterie allemande essayera en vain de prendre le pont de Westerwoort où les combats feront rage durant toute la partie.

Si l'artillerie allemande a été muselée ainsi que celle des hollandais par les blindés allemands qui ont traversé, les mortiers allemands se révèlent très efficaces et la pluie de projectiles qu'ils envoient avec précision sur les défenseurs du pont de Zutphen a pour effet que ces derniers sont pratiquement décimés avant que les blindées allemands ne les massacrent et prennent le pont.

Même si les blockhaus entre Doesburg et Westerwoort sont détruits, les blindés allemands subissent cependant de très lourdes pertes et ne peuvent soutenir efficacement les attaques contre le pont de Westerwoort. Plus grave encore, les Hollandais se resaisissent et contre attaquent vers le pont de Zutphen pour le remprendre aux allemands.

Avec un seul pont sur quatre entre leurs mains, cela n'est pas suffisant pour que le gros des troupes allemandes puisse traverser en toute sécurité.

Victoire allemande mais victoire tactique pour les Hollandais

Le vainqueur est  XX avec YY et ZZ points de victoire

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