Monaco ! Monaco et son port, Monaco et son soleil, Monaco est ses ruelles étroites, Monaco et ses interminables barrières qui rendent l'action de doubler les autres concurrents presque impossible. Monaco et son empilement de voitures (comme je viens de le dire, tout dépassement étant aux risques et périls de celui qui s'y tente, on assiste donc à une accumulation de voitures qui n'est pas sans rappeler les bouchons aux gares de payage un jour de grand départ de vacances). En parlant de départ, nous tenterons d'expliquer pour la prochaine course à Cloduar, en quoi consiste un départ de grand prix car caler sur la ligne de départ alors que l'on est en pôle est du plus mauvais genre. Ceci dit, les autres concurrents n'y trouvèrent rien à redire et filèrent autant que faire se peu sur un circuit qui n'incite pas beaucoup aux records de vitesse. Évidemment, il en est toujours qui tienne à se faire remarquer, tels Gosane et Socrate qui "boostent" comme des fous, pour se calmer très vite suite à quelques ennuies moteur (je ne m'étendrai pas sur les quelques morceaux de carrosserie perdues dans la bataille ...).

Si beaucoup de concurrents furent obligé de passer par la case des stands, ce ne fût pas le cas de Socrate qui tira tout droit pour prendre sans aucune vergogne, la place de leader ( Rod s'est aussi abstenu de passer par les stands mais ne pris que la sixième place suite à cette manœuvre). Et nous voilà donc avec Socrate et Fauve aux commandes de la course. Cloduar (qui a enfin trouvé la première ainsi que les autres vitesses - impétueux le garçon mais pas toujours fut fut) qui en étant en bagarre avec Socrate, avait de fortes chances d'empêcher le doublé, se fait lamentablement distancé par ce dernier à la sortie du tunnel.

Fauve et Socrate en tête, le premier doublé de l'histoire de ce championnat allait enfin être consommé. Mais non, la messe n'était pas encore dite. Alors que plus rien ne pouvait inquiéter le couple de tête, une erreur, un moment d'inattention, une souris sur la piste, que sais-je ... et voilà Socrate qui glisse, frotte les barrières, éclate ses pneus et bousille (Oui ! Môssieur, bousille) sa direction et assiste lamentablement au passage des concurrents suivants trop heureux de gagner une place qu'ils pensaient définitivement acquise par Socrate.

Le mot de la fin pour Socrate : Saleté de pneus tendres ...

On a vu :